Quand l'homme se permet d'occuper les lieux, ce n'est pas toujours pour détruire, cacher, abimer, construire. Quelquefois, c'est pour sublimer. Le contemporain réveille, interpelle ce lieu d'antan, ce banc, c'est comme une rayure sur le paysage, mais une belle, qui fait signe telle une flèche à poursuivre l'exploration, qui invite à faire une pause pour contempler, qui fait aller le regard vers lui comme pour nous dire, "regarde à cet endroit précis, c'est particulièrement joli".