Là-haut, sur mon nuage, je m’imaginais en train de virevolter entre ces immeubles mélancoliques et ce ciel grisâtre. Et peut-être que derrière ces immeubles se cache le bonheur qui perdure dans la pénombre. Ce matin là, quand l’aube se leva, je retrouvai ce ciel gris qui reflète les toits en zinc de Paris. Le printemps se dessine progressivement parmi ces nuages ternes et cotonneux nous laissant deviner l’arrivée des beaux jours. Et si tout cela n’était qu’un simple rêve ? Nous vous laissons le bénéfice du doute…